Dans un document récemment publié, RPKI : Not Perfect But Good Enough, Haya Schulmann et Niklas Vogel, du centre national de recherche allemand ATHENE pour la cybersécurité appliquée et de l’université Goethe de Francfort, et Michael Waidner, de l’ATHENE et de l’université technique de Darmstadt, décrivent une série impressionnante de problèmes liés à la RPKI qui doivent encore être résolus pour qu’elle tienne toutes ses promesses.
Ce document met un frein à l’optimisme de l’Office of the National Cyber Director (ONCD) de la Maison Blanche, qui a publié le mois dernier une feuille de route demandant aux FAI américains de se dépêcher de mettre en œuvre le RPIK afin de remédier à l’insécurité largement reconnue du BGP.
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